TOBIAS MORETTI

TOBIAS MORETTI

PREMIERE DE FAUST

1416 appréciations
Hors-ligne
La première de FAUST aura lieu le 04 Septembre au Burgtheater de Vienne (avec Tobias dans le rôle de Faust et Gert Voss dans le rôle de Méphisto) - Durée prévue du spectacle : 5 heures !! (je réserve ma place dès que c'est possible !!)

"Faust - Der Tragödie erster und zweiter Teil" von Johann Wolfgang von Goethe, Regie: Matthias Hartmann, Premiere: 4.9.2009 im Burgtheater



Ci-dessous liens vers les différents articles :

[lien]
[lien]
[lien]

1416 appréciations
Hors-ligne
Un autre article où il est dit (entre autres) qu'avec Tobias dans le rôle de Faust et Gert Voss dans le rôle de Mephisto, la partie semble gagnée !!
[lien]

1416 appréciations
Hors-ligne


Une interview de Gert Voss qui jouera M?phisto aux c?t?s de Tobias dans Faust :
[lien]
Voici ce qu'il dit ? propos de Tobias lorsqu'on lui demande s'il a d?j? jou? avec lui :

?STERREICH: Haben Sie schon einmal mit Tobias Moretti gespielt?

Voss: Nein, noch nie. Ich habe ihn aber nat?rlich auf der B?hne gesehen, zum Beispiel als K?nig Ottokar, und ich freue mich sehr, mit diesem, mir so sympathischen Schauspieler, zusammenzuarbeiten.

?STERREICH : Avez-vous d?j? jou? avec Tobias Moretti ;

Voss : Non, pas encore. Mais naturellement, je l'ai vu sur sc?ne, dans le r?le du roi Ottokar, et je me r?jouis beaucoup, avec cette pi?ce, de travailler avec un acteur aussi sympathique.


1416 appréciations
Hors-ligne
Confirmation par Wien.ORF.at de la Première de FAUST / 1ère et 2ème partie le 04 Septembre au BURGTHEATER :

[lien]

1416 appréciations
Hors-ligne
TRADUCTION DE L'ARTICLE :
Theaterpremieren im Herbst
PREMIERE AU THEATRE EN AUTOMNE
Goethes bekanntestes Werk, hochkarätige Filmstoffe, Stories aus dem Mafia- und Transvestiten-Milieu rund um Liebe, Begehren und Tod: Der Theaterherbst verspricht ebenso spannend wie abwechslungsreich zu werden.
Le travail le plus connu de Goethe, des adaptations cinématographiques de haut niveau, des histoires de Mafia et dans le milieu des travestis, autour de l?amour, du désir et de la mort, la saison d?automne au théâtre promet d?être aussi captivante que variée.

Hartmann eröffnet Burg-Intendanz mit "Faust"
Das Burgtheater eröffnet die Saison 2009/10 mit einem der größten Stücke der deutschsprachigen Literatur: Die Premiere von Goethes "Faust - der Tragödie erster und zweiter Teil" soll am 4. September über die Bühne gehen
Hartmann débute l?intendance du Burg avec Faust
Le Burgtheater débute la saison 2009/10 avec une des plus grosses pièces de la littérature de langue allemande. La Première de « Faust ? La Tragédie 1ère et 2ème parties » de Goethe sera sur scène le 4 Septembre.


Regie führt Matthias Hartmann, der mit dem Stück seine Intendanz am Burgtheater startet. Hartmanns Vorgänger Klaus Bachler wollte seine Direktion im letzten Oktober mit "Faust" beenden, eine schwere Erkrankung des Regisseurs Jürgen Gosch macht das Projekt aber unmöglich. Tobias Moretti übernimmt in Hartmanns Inszenierung die Titelrolle, als Mephisto wird Gert Voss zu sehen sein
La mise en scène est de Matthias Hartmann, qui débute son intendance au Burgtheater avec cette pièce. Le prédécesseur d?Hartmann à la direction du Burg, Klaus Bachler voulait finir sa Direction en Octobre dernier avec Faust, mais une grave maladie du régisseur Jürgen Gosch a rendu ce projet impossible. Tobias Moretti tient dans la mise en scène d?Hartmann le rôle titre, et on pourra voir Gert Voss dans le rôle de Mephisto.


Weitere Burgtheater-Premieren im September sind der "Struwwelpeter", eine Junk Opera von Phelim McDermott und Thomas Bernhards "Immanuel Kant". Ab Oktober folgen bis Jahresende "Lorenziacco", "Warten auf Godot" und Shakespeares "Antonius und Cleopatra".
Les autres Premières du Burg Theater en Septembre seront « Struwwelpeter, Un Opera Junk de Phelim McDermott et Thomas Bernhards , « Emmanuel Kant ». D?Octobre à la fin de l?année :"Lorenziacco", "En attendant Godot" et "Antone et Cleopatre" de Shakespeare

"Faust - la Tragédie 1ère et 2ème partie" de Johann Wolfgang von Goethe. Premiere le 4. Septembre 2009.
"Struwwelpeter" de Phelim McDermott, Julian Crouch, Martyn Jacques. Premiere le 9. Septembre 2009.

1416 appréciations
Hors-ligne
Un article de Springer.Medizin.at avec une bonne critique de la "Premiere" de Faust (seul petit bémol : l'allusion à Rex... Tobias a fait tant de choses depuis que c'est un peu réducteur de dire qu'il est surtout connu pour cela !!)
[lien]

Un soir, deux représentations
Faust I & II : Matthias Hartmann a fêté une Première couronnée de succès au Burgtheater de Vienne
Le Burgtheater de Vienne est plus qu?un théâtre, plus aussi que « la première scène de la langue allemande ». L'Autriche se permet ce théâtre l?un des mieux dotés financièrement au monde, essentiellement pour satisfaire d'éventuelles visions de grande puissance existant dans le pays. En conséquence, la première mise en scène du nouveau Directeur du Burgtheater Matthias Hartmann est suivie avec grande attention et tension.
Le bureau d?études de Faust. La scène est entièrement dans le noir. Puis une petite lumière s?allume dans le fond. Le logo d?Apple apparaît. Le docteur est assis devant son ordinateur portable. ?J?ai, appris hélas?.la philosophie, la jurisprudence et la médecine » Il se dit ces mots à lui-même et les frappe. Le célèbre monologue est dit tout à fait au tempo et au rythme de la saisie sur l?ordinateur.
Un début avec de l?aplomb.
C?est nouveau. Nous n?avions jamais entendu ces vers trop familiers aux écoliers de cette façon. Une surprise agréable dès le début de la mise en scène de Faust, avec laquelle le nouveau directeur du Burgtheater de Vienne, Matthias Hartmann, fête son arrivée. Aplomb ? ce mot définit encore et toujours ce natif d?Allemagne du Nord, qui était précédemment basé à Zurich, Avec aplomb, il ouvre sa saison. Pour la grande maison, rien de moins que le grand ouvrage de Goethe. Les Viennois ont entendu cela avec satisfaction. C?est le Burgtheater, un vestige des temps de la monarchie, qui peut satisfaire entre autres les possibles fantaisies de puissance existant encore dans le pays.
La force de la fatalité
Celui qui aurait pensé qu?Hartmann amènerait sur scène une grande machinerie pour faire tourner le spectacle, sera déçu. Le théâtre ne montrait pas ses muscles, mais au contraire mettait toutes ses forces dans la simplicité et la légèreté. La cave d?Auerbachs ou le jardin de Marthe. A chaque changement de lieu, au mieux : une nouvelle boîte claire s?allume sur la scène sombre, une paroi s?ouvre et donne la vue sur les décors. Après coup, la boîte s?envole vers l?arrière ou s?enfonce dans le sol. Pas de grande dépense. Pas de débordement d?images. La fantaisie est laissée à la libre imagination des spectateurs. Il en est de même pour le jeu des acteurs : Mephisto ne vient pas sur scène en boitant avec un pied bot. Gert Voss simule plutôt un tendre gigolo. Il montre son aspect diabolique par des expressions du visage : son « visage odieux » qui fait frémir Gretchen. Le rôle titre se tient traditionnellement dans l?ombre de Mephisto. Dans le cas présent, cela se complique encore par le fait que l?interprète de Faust, Tobias Moretti, est davantage connu comme interprète du commissaire dans la série télévisée populaire « Kommissar Rex ». Maintenant, il doit jouer un personnage réfléchissant et doutant toujours, et il y réussit plutôt bien. Convaincant. Pas de professeur distrait avec les cheveux ébouriffés mais plutôt un bureaucrate moderne avec des pensées profondes. Et enfin, Gretchen. Le naturel, la simplicité et l?authenticité en personne, interprétée par la jeune Katharina Lorenz.
Les quatre heures de représentation passent très rapidement. La pause, enfin de l?air ! Le système de ventilation de cette honorable maison date déjà de quelques années. Dans la salle de conférences, pendant la Première, on manquait un peu d?air et le personnel de surveillance avait distribué des éventails aux spectateurs.
Soudain une autre représentation
Faust, seconde partie. Le même metteur en scène, mais soudain une représentation tout à fait différente. Pas seulement, mais maintenant, beaucoup de jeunes acteurs sont sur scène, nous vivons quelque chose comme la tentative de jouer un texte difficile, que beaucoup tiennent pour injouable. Les acteurs improvisent, se présentent séparément au public et se regroupent pour former un ch?ur grec ancien. En plus, des vidéos et un accompagnement musical. C?est comme si nous nous trouvions soudain au milieu des essais. Peu importe, nous abandonnons tôt ou tard l?effort de chercher un sens plus profond à tout cela et nous nous laissons aller à la magie du jeu et aux impressionnants jeux d?optique.
Ici, une étude approfondie, là le pur plaisir de jouer. Ici, l?élaboré, là, l?ébauche. En une soirée, Hartmann a présenté deux versions tout à fait différentes et avec cela, le potentiel complet et le merveilleux éventail du jeu théâtral. Le public de la Première l?a remercié avec de longs applaudissements fournis.


1416 appréciations
Hors-ligne


Une (bonne) critique de KURIER.at
Eine (gute) Kritik von KURIER.at

DANKE, CLAUDIA

Kurier (Österreich) vom 2009-09-06,
Faust-Premierenfeier
Premiere de Faust fêtée

Streicheleinheiten für Moretti
Des compliments pour Moretti
Ein langer Abend an der Burg, mit einem "handgreiflichen" Intendanten und glücklichen Darstellern.
Une longue soirée au Burg, avec un directeur « évident » et des acteurs heureux.
Ich muss mich nicht an die Wiener gewöhnen. Die Wiener müssen sich an mich gewöhnen", hatte der neuen Intendant des Wiener Burgtheaters Matthias Hartmann noch am Premierenabend verkündet. Eine Provokation, die jedoch nicht auf den Deutschen zurückfiel. Seit gestern Nacht liebt das Wiener Premierenpublikum "seinen" Burgchef. Und Hartmann liebt die Burg. Während nach sieben Stunden Faust I & II die letzten gewichtigen Sätze auf der Bühne verhallten, kniete der Chef im Gang und bastelte an einer kaputten Tür. Respekt!
?Je ne dois pas m?habituer aux Viennois. Les Viennois doivent s?habituer à moi », avait encore déclaré le nouveau Directeur du Burgtheater de Vienne, Matthias Hartmann le soir de la Premiere. Une provocation, qui n?est pourtant pas retombée sur l?Allemand. Depuis hier soir, le public viennois de la Premiere aime « son » chef du Burg. Et Hartmann aime le Burg. Pendant que sur la scène, après 7 heures, se terminaient les dernières phrases importantes de Faust I et II, le Chef s?agenouillait sur une marche et réparait une porte cassée. Respect !
Nach Mitternacht traf man dann auf einen zwar "aufgelösten", aber glücklichen Tobias Moretti. Nachdem er von Sunnyi Melles minutenlang geherzt worden war, ließ er seinen Endorphinen freien Lauf. Moretti auf die Frage, ob ihn der Erfolg des bekannt sperrigen Stücks (Faust II) überrascht habe: "An solche Kriterien denkt man nicht. Man muss konzentriert und genau seine Sache machen und versuchen, sein Stück, so gut, wie man es erdacht und erarbeitet hat, umzusetzen. Hat das Erfolg, dann ist das einfach schön!" Rosen für die Inszenierung streute auch die anwesende Prominenz. So verriet Klaus Maria Brandauer dem Alt-Bundeskanzler Franz Vranitzky, dass ihm "... zumindest der erste Teil der Inszenierung gut gefallen hat." Und auch KURIER-ROMY-Seriensiegerin Ingrid Thurnher empfand Faust als "sehr gut" und mit "... einer beeindruckenden Technik inszeniert." Lob und Tadel kam von Medienmanager Hans Mahr. "Das Schönste war Katharina Lorenz als Gretchen. Endlich hat jemand das Gretchen als moderne Frau gespielt und nicht - wie üblich - als tollpatschigen Bauerntrampel. Moretti hatte das Problem, dass man ihn als tölpelhaften Faust hingestellt hat. Er musste sogar mit einer Sepplmütze auf der Bühne stehen. Da kann man nicht brillieren." Brilliert hat dagegen ein anderer: Christian Domschitz, der neue Starkoch im Vestibül. Während im Hintergrund AC/DC aus den Küchenlautsprechern fetzten, verriet Domschitz etwas über die kulinarischen Gewohnheiten des Intendanten. "Hartmann ist eindeutig ein Fleisch-Typ. Leider kommt er immer ganz spät in der Nacht zum Essen. Da ist nicht mehr viel da."
Après minuit, nous avons alors rencontre Tobias Moretti, certes fourbu, mais heureux. Après avoir été enlacé pendant de longues minutes par Sunnyi Melles, il laissait libre cours à son endorphine. Moretti, sur la question, si le succès de la pièce reconnue comme encombrante (Faust II) l?avait surpris : « On ne pense pas à de tels critères. On doit être concentré et faire exactement son affaire et essayer de faire sa pièce aussi bien que cela a été pensé et travaillé. S?il y a le succès, alors, c?est tout simplement beau ! » Les personnalités présentes répandaient également des roses pour la mise en scène. Ainsi Klaus Maria Brandauer trahissait à l?ancien chancelier que « tout au moins, la mise en scène de la première partie lui avait bien plu ». De même, la lauréate du prix Romy pour une série Ingrid Thurnber trouvait Faust « Très bien » et « mis en scène avec une technique impressionnante ». Le louange et la critique venait du Manager de médias Hans Mahr « Le plus beau était Katharina Lorenz dans le rôle de Gretchen. Enfin, quelqu?un a joué Gretchen comme une femme moderne et pas, comme habituellement une paysanne maladroite. » Moretti avait le problème qu?on l?a représenté comme un Faust lourdaud. Il devait même se tenir sur la scène avec une perruque. Avec cela, on ne peut pas briller. Un autre, au contraire a brillé : Christian Domschitz, le nouveau cuisinier star du Vestibül. Pendant que les haut-parleurs de la cuisine diffusaient AC/DC, Domschitz trahissait à propos des habitudes culinaires du directeur « Hartmann est sans aucun doute un type qui aime la viande. Malheureusement, il vient toujours tout à fait tard dans la nuit pour manger. Là, il n?y a plus grand-chose. »
Vous ne disposez pas des permissions nécessaires pour répondre à un sujet de la catégorie Tobias sur scène
auf der Bühne
2
.

Inscrivez-vous au site

Soyez prévenu par email des prochaines mises à jour

Rejoignez les 83 autres membres