TOBIAS MORETTI

TOBIAS MORETTI

Interview Kulturzeit Spezial / 3sat

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Source : Kulturzeit Spezial / 3sat

Peter Schneeberger:
Wir melden uns heute aus Salzburg. Stars wie Anna Netrebko und Tobias Moretti mischen die Festspiele auf. Die Kulturzeit ist mit dabei – auf und hinter der Bühne. 
Auf eines kann man sich bei den Salzburger Festspielen verlassen. Am Domplatz wird der JEDERMANN gespielt. Die Frage ist bloß – Wie? Dieses Jahr ist nämlich alles anders. 
Nous sommes en communication avec vous aujourd’hui depuis Salzbourg. Des Stars comme Anna Netrebko et Tobias Moretti se croisent lors du Festival. Le temps de la culture est ouvert – sur et derrière la scène. On peut compter sur une chose au Festival de Salzbourg. JEDERMANN est joué sur la Place de la Cathédrale. La question est seulement – Comment ? En effet, cette année tout est différent
Tobias Moretti spielt zum ersten Mal die Titelrolle. Die junge Stefanie Reinsperger ist zum ersten Mal die Buhlschaft. Neu ist aber auch die Regie. Regisseur Michael Sturminger hat das mittelalterliche Mysterienspiel in die Gegenwart verlegt. Die Kritik ist hin- und hergerissen zwischen Begeisterung und Ablehnung. Gleich treffe ich das neue Powercouple des Domplatzes Tobias Moretti und Stefanie Reinsperger. Zuvor ein paar Ausschnitte.
Tobias Moretti joue pour la première fois le rôle titre. La jeune Stefanie Reinsperger est la Buhlschaft pour la première fois. Mais la mise en scène est aussi nouvelle. Le metteur en scène Michael Sturminger a transposé le mystérieux jeu médiéval dans le présent. La critique est tiraillée entre l‘enthousiasme et le rejet. Je rencontre tout de suite le nouveau couple phare de la place de la Cathédrale, Tobias Moretti et Stefanie Reinsperger. D’abord quelques extraits.

Sprecherin zu den Ausschnitten/Commentatrice sur les extraits:
2017 kommt der JEDERMANN im Schlafanzug mit Goldketterl und Sonnenbrille. Kein Lebemann und auch kein Partytiger ist er. Spaß scheint ihm der ganze Reichtum auch nicht zu machen. Er erzählt vor allem von Größenwahn und Einsamkeit. 
En 2017, JEDERMANN arrive en pyjama avec une chaîne en or et des lunettes de soleil. Ce n’est pas un play-boy ni un fêtard. Toute la richesse ne semble pas non plus lui faire plaisir. Il parle avant tout de mégalomanie et de solitude.

JEDERMANN zum TOD/JEDERMANN à la MORT: 
Sag mal, weißt du wer ich bin. Ich war doch hier niemals allein. Muss immer zu gesellig sein. 
Dis-moi, sais-tu qui je suis. Je ne suis pourtant jamais seul ici. On doit toujours être trop sociable.

Buhlschaft zu JEDERMANN/La maîtresse à JEDERMANN :
Ich spring nicht auf „grüne Buben“ an. Du bist mein Buhl und lieber Mann. 
Je ne saute pas sur les „gamins verts“ Tu es mon amant et l’homme que j’aime. 

Sprecherin/Commentatrice:
An seiner Seite eine Frau von heute. Selbstbewusst und erwachsen. Die weiß, was sie will. Nämlich leben. 
A ses côtés, une femme d’aujourd’hui. Sûre d’elle et adulte. Qui sait, ce qu’elle veut. En fait, vivre.

Buhlschaft zu JEDERMANN/La maîtresse à JEDERMANN:
Dein Spiel will mir nicht mehr gefallen. 
Ton jeu ne me plaît plus.

Der TOD ruf/La mort appelle: 
JEEEDERMAAANN – JEEEDERMAAANN

Sprecherin/Commentatrice:
Traurig, sentimental, melancholisch. Spaß will hier nicht so recht aufkommen. 
Michael Sturminger hat den Text von Hofmannsthal neu bearbeitet. Die GUTEN WERKE liegen immer noch krank darnieder. JEDERMANN's Mutter zeigt besonnen ihre Sorge und der TEUFEL steigt einmal mehr aus der Hölle empor. 
Recht und Gerechtigkeit, Stolz und Vorurteil. Egoismus und der Verlust jeglicher Empathie.
Der JEDERMANN 2017 ist im Heute angekommen. Doch was ist das Geheimnis des Erfolges? 
Triste, sentimental, mélancolique. Le plaisir ne veut plus arriver ici aussi correctement. Michael Sturminger a retravaillé le texte d’Hofmannsthal. Les bonnes oeuvres toujours malades, sont allongées. La mère de Jedermann montre calmement son souci et le Diable remonte encore une fois des enfers. Droit et Justice, Orgueil et Préjugés, Egoïsme et perte de toute empathie.
Le JEDERMANN 2017 est arrivé dans le temps présent. Pourtant quel est le secret du succès?

Peter Schneeberger:
Jetzt sind sie hier bei mir hier auf der Terrasse des Salzburger Domquartiers. 
Stefanie Reinsperger und Tobias Moretti. Danke, dass ihr da seid. 
Vous êtes maintenant ici avec moi sur la terrasse des quartiers de la Cathédrale de Salzbourg. Stefanie Reinsperger et Tobias Moretti. Merci d’être là.

Steffie:
Gerne
Volontiers.

Tobias:
Ja gern. 
Oui, volontiers.

Peter Schneeberger:
Dass der JEDERMANN stark modernisiert worden ist, das war ja besonders auf ihr Drängen hin. Warum ist Ihnen das so wichtig?
Que Jedermann ait été fortement modernisé, c’était particulièrement sous votre impulsion. Pourquoi cela est-il si important pour vous?

Tobias:
Man musste eine Neuinszenierung schaffen. Und was macht man da? Man steht mit dem Rücken an der Wand. Es geht eigentlich um eine wirklich inhaltliche Koordination. Um eine Zuführung. Um eine Perspektive. Um eine Interpretation. Und dazu ist auch das Stück finde ich zu wichtig und interessant, weil es wirklich ja auch das Hier und Jetzt widerspiegelt der jeweiligen Epoche. 
On devait créer une nouvelle mise en scène. Et que fait-on là? On se trouve le dos au mur. Il s’agit en fait d’une coordination vraiment de fond. Autour d'un apport. Autour d‘une perspective. Autour d‘une interprétation. Et en plus, c’est aussi la pièceque je trouve trop importante et intéressante car dans l'ici et le maintenant elle reflète vraiment aussi l’époque respective 

Peter Schneeberger:
Es gibt das berühmte Diktum von Karl Kraus, dass dieses Stück ein Zitat: „aberwitziger Dreck“ sei. 
Il y a aussi le célèbre dicton de Karl Kraus, que cette pièce serait selon une citation : „une saleté risible“

Steffie:
Also ich muss sagen, ich verstehe gar nicht diese unglaublichen Vorurteile, die es diesem Stück gegenüber gibt. Weil, abgesehen davon, wenn ich mich entscheide, ein Stück zu spielen und eine Rolle annehme, dann möchte ich das verteidigen können und möchte mich darin verlieben können. Und ich bin froh, sagen zu können, dass es passiert ist. Und dass ich das sehr gerne spiele. Und Theater finde ich, findet ja immer im Moment und im Hier und Jetzt statt. Und wenn es so ein „Dreck“ wäre, dann würde es wahrscheinlich schon nicht so lange laufen und gespielt werden. Und wir haben echt das Glück, das wir hier jeden Abend sehr sehr viele Menschen, glaube ich, glücklich machen können. Also es scheint, was in den Menschen auszulösen und die Zuschauer möchten es sehen. 
Donc, je dois dire que je ne comprends pas du tout ces incroyables préjugés qu’il y a à l’égard de cette pièce. Parce que, à part cela, quand je me décide à jouer une pièce et à prendre un rôle, alors je voudrais pouvoir défendre cela et je voudrais pouvoir en tomber amoureuse. Et je suis heureuse de pouvoir dire que cela s’est passé ainsi. Et que je joue cela très volontiers. Et je trouve que le théâtre, a toujours lieu dans l’instant et dans l’ici et maintenant. Et si c’était une telle „saleté“, alors cela ne durerait vraisemblablement pas , et ne serait pas joué depuis tellement longtemps. Et nous avons vraiment la chance, que nous pouvons, je crois, chaque soir, rendre beaucoup de gens heureux. Donc il semble que cela déclenche quelque chose chez les gens et les spectateurs veulent voir cela.

Peter Schneeberger:
Jetzt neu ist ja nicht nur die generelle Interpretation, sondern auch die Rollen sind neu interpretiert von ihnen beiden. Ihr JEDERMANN, ich würde beschreiben, der ist grüblerischer, vielleicht ein bisschen bubenhafter. Nicht dieser klassische Lebemann. Ist das so, weil die heutigen Männer eher weicher sind. Mehr Softies sind. 
Maintenant, non seulement l’interprétation générale est nouvelle, mais aussi les rôles sont nouvellement interprétés par vous deux. Votre Jedermann, je le décrirais ainsi, est plus pensif, peut-être un peu plus juvénile. Pas ce play-boy classique. Est-ce ainsi, parce que les hommes d’aujourd’hui sont plutôt plus mous. Sont plus doux.

Tobias :
Nein, ich glaube nicht. Ich glaube, da gibt es zwei Zugänge. Das eine, dass JEDERMANN ein Jedermann ist. Sozusagen einer, wie jeder andere. Und dann gibt es diese Figur, die von so einer materiellen Hybris beseelt ist, dass sie sich eigentlich alles leisten kann. Sozusagen als hätte das Glück, als hätten die Götter ihm sozusagen alles hingeworfen. 
Und damit geht er um, indem er irgendwie nicht umgeht. Er ist sozusagen jemand, der auch in dieser gesellschaftlichen Hybris und in diesem übertriebenen Selbstverständnis, das sich auch in unserer Gesellschaft in unserer heutigen Zeit verselbstständigt hat, das Mensch auch gleich Gott ist. Dass Mensch auch sich sozusagen sich mit dem materiellen Hintergrund alles leisten kann. Nämlich alles. 
Non, je ne crois pas. Je crois qu’il y a deux approches. L’un, que JEDERMANN est un homme ordinaire. Pour ainsi dire quelqu’un, comme n’importe qui. Et alors, il y a ce personnage, qui est animé par une telle démesure matérielle, qu’il peut en fait tout se permettre. Pour ainsi dire, comme s’il avait la chance, comme si les Dieux lui avaient pour ainsi dire tout jeté.
Et c'est ce qu'il fait, en ne faisant en quelque sorte rien. Il est pour ainsi dire quelqu’un qui dans cette démesure sociale et dans cette image de soi exagérée, qui s’est aussi rendu indépendant dans notre société dans notre époque actuelle, où l’homme est pareil à Dieu. Que l’homme aussi pour ainsi dire avec son arrière-plan matériel peut tout se permettre. En fait tout.

Steffie:
Also mich bewegt das immer total, wenn unser JEDERMANN in Form von Tobias da abgeholt wird vom TOD. 'Wenn dieser Mann, der so „im Saft“ steht und man das Gefühl hat, der kann jetzt gerade alles. Und es ist wirklich so, der Herr von diesem Platz, der hat sich gerade diesen Dom gekauft. In dem Moment kommt jemand, der sagt, so, es wäre jetzt Zeit zu gehen. Und ich finde das unglaublich traurig und berührend. Und ich mag immer diesen Dialog, wenn der TOD sagt: „Glaubst du, das war alles deins? Ist doch nur geliehen.“ 
Donc, cela me bouleverse toujours totalement, quand notre JEDERMANN sous la forme de Tobias est emmené par la mort. Quand cet homme, qui se trouve tellement en pleine forme et qu’on a le sentiment qu’il peut maintenant justement tout. Et c’est vraiment ainsi, le Seigneur de cette place, qui a justement acheté cette Cathédrale. A cet instant, arrive quelqu’un qui dit, il serait temps maintenant d’y aller. Et je trouve cela incroyablement triste et touchant. Et j’aime toujours ce dialogue; quand la mort dit : „Crois-tu, que tout cela était à toi? C’était pourtant seulement prêté.“


Peter Schneeberger:
Sie sind die erste Buhlschaft, die ich in Erinnerung habe, die sagt, dass ist eine verständliche Entscheidung der Buhlschaft, dass sie davon geht. 
Vous êtes la première Buhlschaft, que j’ai en mémoire, qui dit; que c’est une décision compréhensible de la Buhlschaft, qu’elle s’éloigne.

Steffie:
Ja und auf einmal sagt dieser Mensch, ich möchte, dass du mit kommst. Und zwar sofort und wir werden niemals zurück kommen. Niemals. Das ist eigentlich so eine Anmaßung und ich liebe dich über alles. Aber dafür reicht es gerade nicht. Und es tut mir auch weh, dir das sagen zu müssen. 
Oui, et d’un seul coup, cet homme dit, je voudrais que tu viennes avec moi. Et certes tout de suite et nous ne reviendrons jamais. Jamais. C’est en fait tellement présomptueux et je t’aime par-dessus tout. Mais pour cela, cela ne suffit justement pas. Et cela me fait mal de devoir te dire cela.

(Ausschnitt/Extrait) 
Buhlschaft zu JEDERMANN/La maîtresse à Jedermann: 
Ja, JEDERMANN. Ich heule und verlasse dich hier. 
Oui, JEDERMANN. Je chiale et je te laisse ici.

JEDERMANN:
Wohin kehrst du dich? Mein Buhl mit mir? 
Où te tournes-tu ? Mon amante avec moi? 

Buhlschaft:
Ich mit dir? Ich bin taub. Schaue nicht zurück. Und bötest du mir alles Gold und alles Glück. 
Moi avec toi ? Je suis sourde. Je ne regarde pas en arrière. Et tu m’offrais tout l’or et tout le bonheur. 


Tobias:
Sie kann den Weg des Todes, kann man nicht teilen. Weil du den allein zu gehen hast. Und das ist ja die Anmaßung auch von ihm. Dass in dem Moment, aber das ist nicht nur eine Anmaßung, die menschlich ist, sondern auch in der Erbärmlichkeit zum Menschen. Weil er wirklich glaubt, er hat jemand, den er zum Mitgehen zwingt. Alle Figuren, selbst das Geld, sein einziger Hebstecken, auch noch eine Projektion von ihm selbst ist.
Elle sait qu’on ne peut pas partager le chemin de la mort. Parce que tu dois y aller seul. Et c’est aussi présompteux de sa part à lui. Que dans ce moment, mais ce n’est pas seulement une prétention qui est humaine mais aussi inhérente à l’état misérable de l’homme. Parce qu’il croit vraiment, qu’il a quelqu’un qu’il peut forcer à l’accompagner. Tous les personnages, même l’argent, son propre pécule sont encore aussi une projection de lui-même.

(Ausschnitt/extrait)
JEDERMANN packt Mammon/JEDERMANN attrape Mammon,:
Und du gehst mit. Du bist mein Teil. 
Et tu viens avec moi. Tu es ma part.

MAMMON:
Nicht einen Schritt. Bin hier bequem. 
Pas un pas. Je suis à l’aise ici.

JEDERMANN:
Was? Du bist mein Eigentum! Meine Pracht! 
Quoi? Tu es ma propriété! Ma splendeur!

MAMMON lacht spöttisch/rit moqueur:
Dein Eigentum? (Er lacht so richtig widerlich!) 
Ta propriété? (il rit de façon répugnante)

Peter Schneeberger:
Stellt das auch mit Ihnen was an, wenn sie die Rolle spielen? Sind Sie nachher am Abend zumindest für 10 Minuten ein anderer? 
Cela vous fait-il quelque chose aussi quand vous jouez le rôle ? Etes-vous après la soirée au moins pendant 10 minutes un autre? 

Tobias:
Ich habe einen gemacht, den ein Blitz nieder haut und der in seiner menschlichen Perspektive in allem, was ihn seelisch, geistig, in allem, was ihn ausmacht. Eigentlich enthebt jeder Perspektive. Und dann kann es nur noch eine Konsequenz geben. Das ist eine Art von Erkenntnis. Und das ist vielleicht viel weniger, als ein Gläubiger zu sein. Sondern vielleicht mit Glaube umzugehen. Ich sage am Schluss einen Satz: „Ich glaube, so lange ich atme hier auf Erden, so lang kann ich gerettet werden.“ 
J’en ai fait quelqu’un, qu’un éclair frappe vers le bas et qui dans sa perspective humaine en tout, ce qui le compose, moralement, spirituellement. En fait supprime chaque perspective. Et alors, il peut y avoir seulement encore une conséquence. C’est une sorte de connaissance. Et c’est peut-être beaucoup moins que d’être un croyant. Mais peut-être traiter avec la Foi. Je dis à la fin une phrase „Je crois, qu’aussi longtemps que je respire ici sur cette terre, aussi longtemps je peux être sauvé“

Peter Schneeberger:
Sie persönlich, glauben Sie daran, dass man eine Seele wieder gesund machen kann?! 
Vous personnellement, y croyez-vous, qu’on puisse rendre une âme de nouveau saine?

Tobias:
Ja natürlich glaube ich das. Natürlich. Das glaube ich. Das weiß ich auch. 
Oui, bien sûr, je crois cela. Bien sûr. Je le crois. Je le sais aussi.

Steffie:
Ich mag es, weil ich das Gefühl habe, dass für jedes Alter, für jeden Menschen, egal in welcher Lebensphase, da eigentlich was dabei sein könnte. Und das ist ja toll. Und wie Tobias das sagt, die Menschen werden hier verzaubert davon. Und das ist glaube ich, das Tolle an dem Stück. Das sieht man auch. Da gehen Kinder rein. Da gehen alte Menschen rein. Da gehen Menschen in meinem Alter rein. Da ist für jeden glaube ich, was da. Und ich finde, dass das eigentlich die Qualität von dem Theaterstück ist. 
J’aime cela, parce que j’ai le sentiment, que pour chaque âge, pour chaque homme, peu importe à quel stade de la vie, qu’en fait cela pourrait être ainsi. Et c’est super. Et la façon dont Tobias dit cela, les gens ici sont enchantés. Et c’est, je crois, ce qui est super dans la pièce. On voit cela aussi. Des enfants viennent. Des personnes âgées viennent. Des gens de mon âge viennent. Il y a là, je pense, quelque chose pour chacun. Et je trouve que c’est en fait la qualité de cette pièce.

Tobias:
Die ultimative, finale Frage stellt sich jedem ganz knapp vor dem Sterben und vielleicht kennen einige von uns solche Situationen mit nächsten Menschen. Wie es ist, wenn sich ein Menschenwesen, dass sich entfaltet hat im Werk, im Handeln, aber auch in seiner ganzen Persönlichkeit. Um was es dann am Schluss geht. Das ist ganz schmal – ganz schmal! Aber es ist eine Entscheidung, etwas zu sagen am Schluss. Und ich glaube zum Beispiel ganz fest daran, dass das letzte Wort, was die Menschen sagen, etwas über die Bedeutung oder über den Lernprozess oder über die Bedeutung aussagt, auch dessen was sie waren und was sie sind. 
La question ultime, finale qui se pose à chacun presque avant de mourir et peut-être que quelques-uns d’entre nous connaissent une telle situation avec de prochaines personnes. Comment c’est, quand une créature humaine qui s’est développée dans le travail, dans l’action, mais aussi dans toute sa personnalité. Et il s’agit alors de la fn. C’est tout à fait étroit, tout à fait étroit. Mais c'est une décision de dire quelque chose à la fin. Et je crois par exemple tout à fait fermement, que le dernier mot, que les gens disent – quelque chose à propos de la signification ou à propos du processus d’apprentissage ou déclarent à propos du sens, aussi de ce qu’ils étaient et de ce qu’ils sont.

Peter Schneeberger:
Die Antwort auf die letzte Frage muss jeder selber finden, haben Sie gerade gesagt. Wir sind am Ende des Gespräches. Herzlichen Dank, dass Sie bei mir waren. 
On doit trouver soi-même la réponse à la dernière question, avez-vous justement dit. Nous sommes à la fin de la conversation. Je vous remercie chaleureusement d’avoir été avec moi.

Tobias:
Dankeschön
Merci beaucoup.

Steffie: 
Sehr gerne
Très volontiers.


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