TOBIAS MORETTI

TOBIAS MORETTI

Jud Süß

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Début du tournage à Cologne, le 30 Juin 2009.
Titre de travail : Jud Süss - Film ohne Gewissen
(le Juif Süss - Film sans conscience)
Les autres lieux de tournage seront Munich, Vienne, la Basse Autriche et Venise.
Finalement, ce n'est pas Karl Markovics (Stocki) qui jouera Goebbels mais Moritz Bleibtreu. 
Voir les différents articles ci-dessous : 

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Un article (en fran?ais !! ) ? propos du film :
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The same (in english)
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Un reportage au sujet du tournage du film sera diffusé dimanche 09 Août à 19 H 00 dans le magazine "Highlights,
das Kultur Magazin" sur la chaine autrichienne ATV.

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Jud Süss: Tobias Moretti steht als karrieristischer Schauspieler der NS-Zeit, vor der Kamera
Le Juif Süss : Tobias Moretti est devant la caméra, comme acteur carriériste du temps national-socialiste

Der deutsche Starregisseur Oskar Roehler wagt sich an ein brisantes Thema: „Jud Süss“, der Propagandafilm der Nazis, heute noch Symbol für die Verführbarkeit von Künstlern. Tobias Moretti spielt den Schauspieler Ferdinand Marian, der von Goebbels gedrängt wurde die Titelrolle zu übernehmen. An seiner Seite u.a. Moritz Bleibtreu und Martina Gedeck.
Le réalisateur allemand Oskar Roehler se risque à un sujet explosif : "Le Juif Süss", le film de propagande des Nazis, encore aujourd'hui un symbole pour le seuil de séduction des artistes. Tobias Moretti joue l'acteur Ferdinand Marian, qui a été forcé par Goebbels à jouer le rôle titre. A ses côtés, entre autres Moritz Bleibtreu et Martina Gedeck

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UN ARTICLE KURIER.at

Source : Artikel vom 12.08.2009 16:49 | KURIER | Veronika Franz, Guido Tartarotti

« RONGE PAR SES PROPRES FLUCTUATIONS »
Tobias Moretti à propos du film de propagande NS " Jud Süß " dont la genèse est portée à l'écran actuellement par Oskar Roehler
Il vient juste de fêter son 50e anniversaire, mais n’a donné aucune interview « Si je n’ai pas le temps pour faire la fête, je n’en ai pas non plus pour les interviews, c’est pourtant clair »
Oui, c’est clair, lorsque l’on jongle entre deux projets : Jouer Faust au Burgtheater en Septembre (voir article Kurier) et presque en parallèle tourner « Jud Süß – un film sans conscience (titre de travail) Un film sur un film difficile : à propos du plus célèbre film de propagande de l’époque nazie de Veit Harlans. En 1939, Goebbels avait produit "Jud Süß", 20 millions de personnes (la moitié du peuple allemand) l’avaient vu au cinéma à la fin de la guerre. Une superproduction des nazis, avec de grandes stars comme Werner Krauss, Heinrich George et dans le rôle du Jud Süß, Ferdinand Marian

Dans le tourbillon
Moretti joue celui-ci. Il a une moustache et est fatigué, très fatigué. Depuis Mai, il n’arrête pas de travailler, dit-il. Aujourd’hui, depuis 6 heures du matin, on tourne une mise en scène d’Othello des années 40. Dans la cour du theâtre municipal de la nouvelle ville de Vienne, s’ébattent des hommes en uniforme SS. Goebbels (Moritz Bleibtreu) passe à la voiture-restaurant. Heribert Sasse avec le visage peint en noir (oui, il est Othello) bavarde. La vie quotidienne sur le plateau. Moretti est déjà démaquillé, tout en blanc et déclame un texte. Une fois encore, il doit revenir sur le tournage. Après cela, il donne l’interview. « Suis de nouveau claqué“, dit-il joyeusement et décrit le fait de jongler entre l’apprentissage de Faust et le tournage de Jud Süß comme son entraînement de survie.
"Eh bien, on fait l’un après l’autre. Au jour le jour. Et quand comme ici, chaque jour est particulier, cela ne prend pas seulement de la force, mais en donne également"
Aujourd'hui le particulier du jour était deux urinoirs dont la mise en scène réglée d'Othello était équipée. Car jusqu'à 1939 des Juifs ont aussi joué au théâtre très progressif à Berlin.
Moretti incarne Ferdinand Marian, cet acteur autrichien, qui a interprété le Juif Süβ de façon si infernalement intensive. Il avait dans un premier temps refusé le rôle et s’est ensuite laissé corrompre par Goebbels.

Sournois
„Trahison envers lui-même, envers sa femme et une trahison à son talent », dit aujourd’hui Moretti. Il a vu le film plusieurs fois pendant la préparation (les représentations publiques sont aujourd’hui interdites) et le porte toujours sur lui, car beaucoup de scènes doivent être exactement réglées. Le film est rendu de façon si intelligente, si perfide, si sournoisement à plusieurs niveaux, que l’on peut se perdre dans l’histoire, bien qu’en principe, on vérifie.
En 1940, "Jud Süß"a été acclamé lors de la Première à Venise. Michelangelo Antonioni, grand metteur en scène, écrit « S’il s’agit là de propagande, nous saluons la propagande. C’est un film passionnant, des plus énergiques et extraordinairement efficace » L’écrivain Raoul Giordano dira plus tard que le film était « la forme la plus basse, la plus commune et la forme artistique la plus raffinée de l’antisémitisme »
De cet ouvrage de propagande ainsi que du destin tragique de son interprète principal, est né « Jud Süβ – un film sans conscience »
Depuis 4 ans, la producteur Franz Novotny Moretti avait le scénario près du cœur. Là, il lui semblait encore plus précieux et il avait le sentiment qu’il fallait attendre le bon metteur en scène. Le réalisateur de films allemand Oskar Roehler ("Die Unberührbare", "Elementarteilchen") lui semblait être celui-là.
Moretti va donc encore aux castings ?
„Non… plus maintenant“ Je préfère, lorsqu’un metteur en scène vient à un spectacle au théâtre, et que nous parlons ensuite ». En tout cas, Roehler est venu, a vu „König Ottokar“ et Moretti a gagné. Le travail sur le film a commencé sur une grande échelle, dit-il aujourd’hui. Il s’agit finalement de la responsabilité morale des acteurs et de la question :« Qu’aurais-je fait ? »
„Ferdinand Marian était le prototype d’un homme qui n’était pas stupide, mais pas assez intelligent qu’il avait dû s’estimer. Cela signifie aussi qu’il a sous-estimé le milieu du Cinéma. Il a certes réfléchi, mais toujours trop tard. En cela, il s’est brisé. A la fin, il était rongé par ses propres fluctuations, croit Moretti. La matière cinématographique devint aussi explosive là-bas, où les acteurs de l’époque ont dû divorcer de leurs épouses juives.
Heinz Rühmann vint par exemple de façon moins glorieuse auparavant (En 1941 il avait fait un film d’anniversaire pour Goebbels avec ses 4 enfants).

Opportunisme
Moretti : „C’est intéressant, ceux qui par opportunité, ont divorcé, uniquement parce que le mari ou la femme étaient juifs ou à-demi juifs. Et si l’on connaît des cas célèbres, comme les Karajan, les Rühmann, alors on peut estimer pour la 1ère fois comment cela pouvait être réellement. D’autre part, il y a aussi les cas célèbres, qui ne l’ont pas fait, comme Hans Moser « Même si l’on sait, qu’on ne sait pas ce que l’on aurait fait à l’époque, il peut y en avoir un pour cent de 1000 pour dire : « Je peux en tout cas en exclure les conséquences »

L’original : l’intrigue antisémite
Le film de Veit Harlans „"Jud Süß » raconte l’histoire du financier juif Joseph Süß Oppenheimer, qui, au 18e siècle, a été victime d’un complot à la cour d’un duc. Lion Feuchtwanger avait travaillé sur cette matière dans un roman des années 30. Wilhelm Hauff en avait fait une nouvelle. Duquel des deux le film d’Harlans s’inspire est contestable. Il affirmait, de son vivant, ne pas connaître le roman de Feuchtwanger et donnait Hauff comme source. Joseph Goebbels avait commandé le film : montrer Oppenheimer – suivant le cliché antisémite – comme un ennemi du peuple avide d’argent et de pouvoir qui à la fin, est condammé à mort pour avoir eu des relations sexuelles avec une chrétienne.

"Zerfressen vom eigenen Hin und Her"
Tobias Moretti über den NS-Propagandafilm "Jud Süß", dessen Entstehungsgeschichte von Oskar Roehler derzeit verfilmt wird.
Gerade hat er 50. Geburtstag gehabt, aber kein einziges Interview dazu gegeben. "Wenn ich nicht einmal einmal Zeit zum Feiern habe, dann habe ich auch keine für Interviews, das ist doch klar."
Ja, so klar kann das sein, wenn man zwei Grenzgänge auf einmal geht: den Faust ab September im Burgtheater zu spielen (der KURIER berichtete) und fast parallel "Jud Süß - Ein Film ohne Gewissen" (Arbeitstitel) zu drehen. Ein Film über einen schwierigen Film: über Veit Harlans berühmtesten, antisemitischen Propagandafilm der NS-Zeit. 1939 hatte Goebbels "Jud Süß" produziert, 20 Millionen Menschen (die Hälfte davon Deutsche) haben ihn bis zum Ende des Krieges im Kino gesehen. Ein Blockbuster der Nazis also, für den sich große Stars wie Werner Krauss, Heinrich George und, als Jud Süß, Ferdinand Marian hergaben.

In der Mühle
Diesen spielt Moretti. Er hat einen Schnurrbart und ist müde, sehr müde. Seit Mai drehe sich das Mühlrad der Arbeit, sagt er. Seit sechs Uhr früh wird heute gedreht; eine Othello-Inszenierung der 40er Jahre nachgestellt. Im Hof des Stadttheaters Wiener Neustadt tummeln sich Männer in SS-Uniform. Goebbels (Moritz Bleibtreu) geht am Cateringwagen vorüber. Heribert Sasse mit schwarz bemaltem Gesicht (ja, er ist Othello) steht plaudernd rum. Alltag am Set. Moretti ist schon abgeschminkt, ganz in Weiß und deklamiert einen Text. Einmal muss er noch zum Dreh zurück. Danach gibt er das Interview. "Bin wieder fix", sagt er fröhlich und nennt sein Überlebenstraining zwischen Faustlernen und Jud-Süß-Spielen: "Na, eines nach dem anderen machen. Von Tag zu Tag. Und wenn, wie hier, jeder Tag besonders ist, dann nimmt es nicht nur Kraft, sondern gibt auch welche." 
Heute waren das Besondere am Tag zwei Pissoirs, mit denen die nachgestellte Othello-Inszenierung ausgestattet war. Denn bis 1939 haben auch Juden in Berlin noch sehr progressives Theater gespielt.
Moretti mimt Ferdinand Marian, jenen österreichischen Schauspieler, der Jud Süß so infernalisch intensiv verkörpert hat. Der die Rolle zuerst ablehnte und sich dann doch von Goebbels korrumpieren ließ.

Tückisch
"Verrat an sich selbst, an seiner Frau, und auch ein Verrat an seiner Begabung", nennt es heute Moretti. Er hat den Film in der Vorbereitung zigfach gesehen (die öffentliche Aufführung ist bis heute verboten) und trägt ihn immer bei sich, auch weil viele Szenen genau nachgestellt werden müssen. "Der Film ist so klug gemacht, so perfide, auf vielen Ebenen so tückisch, dass man sich in der Geschichte, obwohl man sie eigentlich durchschaut, immer wieder verliert", sagt er. 1940 hatte "Jud Süß" in Venedig bejubelte Premiere. Michelangelo Antonioni, später großer Filmregisseur, schrieb: "Wenn es sich hier um Propaganda handelt, dann begrüßen wir Propaganda. Dies ist ein packender, eindringlicher, außergewöhnlich wirkungsvoller Film." Der Schriftsteller Ralph Giordano jedoch wird den Film später "die niederträchtigste, gemeinste und raffinierteste Form von künstlerischem Antisemitismus" nennen. Von der Entstehung dieses Propagandawerks sowie der tragischen Geschichte seines Hauptdarstellers handelt nun "Jud Süß - Ein Film ohne Gewissen". Vor vier Jahren hatte Produzent Franz Novotny Moretti das Drehbuch ans Herz gelegt. Da hatte er sich noch geziert und "das Gefühl, man müsse auf den richtigen Regisseur warten". Der deutsche Filmemacher Oskar Roehler ("Die Unberührbare", "Elementarteilchen") schien es dann zu sein.

Geht denn Moretti noch zu Castings?
"Nein... nicht mehr. Ich mag es lieber, wenn die Regisseur zu einer Vorstellung ins Theater kommt, und danach reden wir."Roehler kam jedenfalls, sah König Ottokar - und Moretti siegte. Die Arbeit am Film habe auf großer Höhe, begonnen, sagt er heute. Es gehe schließlich um moralische Verantwortung von Schauspielern und die Frage, was hätte ich getan? "Ferdinand Marian war der Prototyp eines Menschen, der nicht dumm war und nicht intelligent genug, dass er sich einzuschätzen gewusst hätte. Das heißt auch, dass er das Medium Film unterschätzt hat. Er hat zwar reflektiert, aber immer zu spät. Daran ist er zerbrochen. Am Ende war er zerfressen von seinem eigenen Hin und Her", meint Moretti. Brisant wird der Filmstoff auch dort, wo es um Schauspieler, die sich damals von ihren jüdischen Ehefrauen scheiden ließen. Heinz Rühmann kommt etwa unrühmlich vor (1941 hatte er für Goebbels einen Geburtstagsfilm mit dessen vier Kindern gemacht).

Opportunismus
Moretti: "Es ist interessant, wer sich damals aus Opportunität hat scheiden lassen, nur weil der Mann oder die Frau jüdisch oder halbjüdisch waren. Wenn man die berühmten Fälle kennt, die Karajans, die Rühmanns, dann kann man erst mal hochrechnen, wie viele es wirklich waren. Andererseits gibt es ja auch die berühmten Fälle, die es nicht getan haben, wie Hans Moser."
Auch wenn man weiß, dass man nicht weiß, was man damals gemacht hätte, eines könne er mit 1000 prozentiger Sicherheit sagen: "Sowas kann ich in aller Konsequenz ausschließen."

Das Original: Antisemitische Intrige
Veit Harlans Film "Jud Süß" handelt vom jüdischen Finanzbeamten Joseph Süß Oppenheimer, der im 18. Jahrhundert am Hof eines Herzogs einer Intrige zum Opfer fiel. Lion Feuchtwanger hat den Stoff in den 30er Jahren zum Roman verarbeitet. Wilhelm Hauff hatte daraus eine Novelle gemacht. Auf welchem der beiden Stoffe Harlans Film basiert, ist umstritten. Er behauptete Zeit seines Lebens, Feuchtwangers Roman nicht gekannt zu haben und gab als Quelle Hauff an. Joseph Goebbels hatte den Film in Auftrag gegeben, der Oppenheimer - antisemitischen Klischees folgend - als macht- und geldgierigen Feind des Volkes darstellt, der am Ende wegen des Geschlechtsverkehrs mit einer Christin zum Tode verurteilt wird.

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Article de sueddeutsche.de à propos du film :

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Tobias (Ferdinand Marian) et Moritz Bleibtreu (Goebbels)

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Quelques photos du tournage :
















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Dans un article de der kurier.at, Mr Novotny, le producteur du film, dit qu'il voulait absolument Tobias pour jouer ce rôle car "c'est un excellent comédien, et que ce film sera peut-être le meilleur qu'il ait jamais tourné"





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d'autres photos :




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Un article de "JERUSALEM POST" à propos du 1er film "Jud Süss" et de l'acteur Ferdinand Marian

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Une photo de Tobias dans le rôle de Ferdinand Marian
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D'autres photos :



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Un lien vers un site avec les photos du message ci-dessus
Cliquer sur la petite photo puis sur "ansehen" vous pouvez les voir en grand format !!
A link to a site with first photos of the above message.
Click on the small photo then on "ansehen", you could see them in large-size !!

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L'affiche en grand format


Et photo agrandie de Tobias en "Jud Süss"

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Un résumé du film sur evene.fr

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L'affiche du film à Berlin :
Film Plakat in Berlin
Film Poster in Berlin





1ère présentation : le 18 Février 2010.

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Nouvelles photos /  neue Fotos / new photos







 

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Un article très intéressant du "Point" concernant le détournement du livre de Lion Feuchtwanger pour en faire le film de 1940 :

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Jud Süss sera en compétition lors du 6e Festival du Film allemand à Ludwigshafen qui débute le 16 Juin. Espérons qu'il recevra un meilleur accueil qu'à Berlin !!
Jud Süss wird in Wettbewerb beim das 6. Festival des deutschen Films in Ludwigshafen sein, der am 16. Juni anfängt. Hoffen wir, dass er eine bessere Aufnahme erhalten wird als in Berlin!!
Jud Süss will compete at the 6th Festival of German Film in Ludwigshafen, which begins June 16.
Let us hope that it will receive a better reception than in Berlin!!

Le prix d'art dramatique a déjà été attribué à Moritz Bleibtreu!! Pourquoi pas à Tobias ??

Der Preis von der Schauspielkunst ist Moritz Bleibtreu schon zugeteilt worden!! Warum nicht Tobias??

The prize of dramatic art was already awarded to Moritz Bleibtreu!! Why not to Tobias??



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Oui, pourquoi pas Tobias, Ninab? Alors que c'est lui qui a obtenu les seules grandes louanges des critiques. Mais Ludwigshafen se trouve en Rhénanie et Moritz Bleibtreu a utilisé, même si c'est de façon un peu exagérée, le dialecte rhénan de Goebbels. D'où le prix. J'espère simplement que le film au moins sera récompensé.

Yes why not Tobias, Ninab? Although he scored the only high praise from the critics
But Ludwigshafen is located in the Rhineland and Moritz Bleibtreu has, if somewhat in an exaggerated way, spoken Goebbels' Rhenish dialect. Therefore, the bonus. I just hope that the film is at least rewarded.


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PrOgrammation de Jud Süss au festival du film allemand :


18 Juin 18 H 30
19 Juin 19 H 00
20 Juin 20 H 00


Freitag, 18. Juni 2010 19.30 Uhr
Gala Preis für Schauspielkunst 2010 an Moritz Bleibtreu mit anschließender Filmvorführung von Jud Süß - Film ohne Gewissen.

Samstag, 19. Juni 2010 18.00 Uhr
Jud Süß - Film ohne Gewissen

Sonntag, 20. Juni 2010 20.00 Uhr
Jud Süß - Film ohne Gewissen
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D'après le site Hollywoodaminn.de, la sortie de Jud Süss serait prévue le 15 Juillet ?? A suivre....

Nach der WebsiteHollywoodaminn.de wäre das Ausfuhr von Jud Süss am 15. Juli vorhergesehen ?? Zu folgen....

According to the website Hollywoodaminn.de, the output of Jud Süss is scheduled July 15 ?? To be continued ....

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Un trailer un peu plus long du film (il faut cliquer sur "Gross" à côté de la photo)

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Un article du morgenweb.de sur le festival du film allemand, ci-dessous passage concernant "JUD SÜSS"

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Eher schon kann sie Oskar Roehler mit seinem kontrovers diskutierten Werk "Jud Süß - Film ohne Gewissen" verbuchen, das man trotz aller Vorbehalte (wir berichteten) als beherzten Zugriff auf ein schwieriges, vorbelastetes Thema, nämlich die Entstehung des antisemitischen Hetzfilms "Jud Süß" von Veit Harlan, verstehen kann.Die stellenweise undifferenzierte Sicht und historische Ungenauigkeit mag man, mit etwas gutem Willen, als provokatives Potenzial würdigen.
Dass Hauptdarsteller Tobias Moretti in der Rolle des Schauspielers Ferdinand Marian eine besondere Erwähnung für eine herausragende Einzelleistung verdient hätte, dürfte jedenfalls außer Frage stehen.


"Plus tôt déjà, on peut comptabiliser Oskar Roehler -avec son oeuvre controversée "Jud Süß - Film ohne Gewissen", que l'on peut comprendre, malgré toutes les restrictions (comme nous l'indiquions)- comme l'accès courageux à un sujet difficile, au passé chargé, à savoir l'émergence du film de propagande antisémite "Jud Süß" de Veit Harlan. On peut apprécier la vue non différenciée par moments et l'imprécision historique, avec un peu de bonne volonté, comme un potentiel provocateur.

Que l'acteur principal Tobias Moretti dans le rôle de l'acteur Ferdinand Marian, aurait mérité une mention particulière pour une performance individuelle excellente, ne semblait en tout cas pas faire de doute.

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The English translation of the criticism above :

Already one can include Oskar Roehler with his controversially-discussed work " Jud Süss - film without a conscience "
which one can understand despite all reservations (as reported) as a courageous access to a difficult topic with a
biased past, namely the emergence of the anti-Semitic propaganda film " Jud Süss " by Veit Harlan.
One may appreciate here and there the undifferentiated point of view and historic inaccuracy, with a little bit of good
will, as a provocative potential.
Anyhow, there is no doubt that leading actor Tobias Moretti would have earned a special mention for an outstanding
individual performance in the role of actor Ferdinand Marian.


There is no doubt indeed!!

:pap: :pap: :pap: :pap:

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Lien vers le site DVD Forum.at avec la fiche du film et quelques clips :
(sortie annonc?e en Septembre en Allemagne et en Autriche ... Et en France ?????)
Link zur Website DVD Forum.at mit dem Pflock des Filmes und einiger Clips :
(Kinostart der im September in Deutschland und in ?sterreich angek?ndigt ist... Und in Frankreich ????)


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Lien vers site officiel du film :
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Confirmation de la sortie dans les cinémas allemands le 23/09/2010

Kinos Deutschlandstart 23.9.2010


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AVANT PREMIERE DU FILM LE 16 SEPTEMBRE A LICHTBURG

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D'après l'article, les acteurs, le réalisateur et le producteur devraient être présents.
Zur Deutschlandpremiere des Films werden Regisseur, Darsteller und Produzenten in der Lichtburg zu Gast sein.



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